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Le Caprices Festival s’offre les stars de l’électro
3 jours de musiques électroniques au Caprices
Grande nouveauté de cette onzième édition, le premier week-end du Caprices festival sera entièrement dédié aux musiques électroniques. Les plus grands DJ/producteurs se succèderont sur la scène du Moon, à Modernity ainsi qu’au sein des lieux satellites où la techno se déclinera dans toutes ses variantes.
Les plus fameux représentants de la musique électronique seront réunis pour l’occasion, plaçant Caprices au niveau des meilleurs festivals européens de la scène électronique. De fait, le line-up comportera, sur 14 headliners, 6 membres des 20 meilleurs DJ’s du monde, selon le classement récemment publié par Resident Advisor. Le vendredi 11 avril, en ouverture de cette « parenthèse clubbing », le Moon accueillera pléthore de stars des platines, dont le musicien et producteur canadien Richie Hawtin, mais aussi Marco Carola, mondialement connu pour ses sets explosifs, ainsi que Gaiser (protégé de Richie Hawtin) en live, et enfin le duo français dOP.
Samedi 12 avril, la quintessence de l’électro sera une nouvelle fois au programme de la soirée avec à l’affiche, la légende britannique Carl Cox, le pionnier de la Techno de Detroit, Jeff Mills, mais aussi la grande sensation 2013, Gesaffelstein, et le français Simon Delacroix alias The Toxic Avenger.
Afin d’assurer une immersion « clubbing » dès le vendredi midi, la désormais traditionnelle Modernity@Caprices prendra ses quartiers de 12h à 19h sur la terrasse des Violettes à 2’200 mètres. Le paysage change mais l’événement reste toujours aussi haut perché et comblera une nouvelle fois les aficionados de musiques électroniques. Les clubbers diurnes pourront se déhancher le 11 avril sur les sets de Richie Hawtin, Loco Dice, et Benoît & Sergio. Le samedi 12 avril, ce sera au tour de Ricardo Villalobos de prendre possession des platines et les DJettes seront aussi à l’honneur avec Magda, tINI et Masaya. Quant à la session du dimanche 13 avril, elle proposera un set exceptionnel de Sven Väth, sans oublier Alejandro Mosso et Ezikiel.