Scène française
Condamné par la justice, Calogero crie à l’injustice
Calogero clame son innocence
Le verdict est tombé pour Calogero ! La Cour de Cassation a condamné le chanteur pour plagiat pour le morceau si jamais je pouvais lui manquer.
La plus haute juridiction française a estimé que le chanteur avait spolié l’ingénieur du son Laurent Fériol. Ce dernier a écrit en 2001 un morceau dont certains passages ressemblent très fortement à la chanson de l’artiste sortie en 2004. Malheureusement pour Calogero, la justice vient de le condamner pour plagiat, et depuis il ne cesse de clamer son innocence, criant à l’injustice !
N’ayant plus de moyens juridiques de contester cette décision, Calogero a décidé de s’exprimer sur les réseaux sociaux pour convaincre de son innocence auprès de ces fans : « je suis accusé et condamné à tort de plagiat pour quelques notes du refrain de ma chanson « Si seulement je pouvais lui manquer », par un monsieur que je ne connais pas » a-t-il écrit sur sa page Facebook. « Je vous écris pour que vous sachiez que chacune de mes notes qui composent mes mélodies depuis que j’ai 16 ans sortent toutes directement de mes tripes et de mon cœur » a ajouté le chanteur. Plus de détails dans la vidéo ci-dessous !