pop-rock
Michael Jackson Son rapport d’autopsie dévoilé
Rapport d'autopsie accablant
Le rapport d’autopsie de Michael Jackson vient enfin d’être dévoilé et révèle en 51 pages des détails très troublants.
Alors que le Dr Conrad Murray vient d’être inculpé d’homicide involontaire lundi dernier suite à la mort de Michael Jackson le 25 juin dernier, la cour de Los Angeles vient enfin de rendre public le rapport définitif d’autopsie de la star.
Précédemment, le bureau de médecine légale avait déclaré que Jackson était décédé suite à l’administration d’une dose mortelle de Propofol, un puissant anesthésique. Aujourd’hui, le journal britannique The Daily Mail, rapporte les détails concernant le rapport d’autopsie de Michael Jackson et dévoile que le Roi de la pop avait trente-huit marques de piqûre sur son corps. Des plaies dues à ces piqûres ont été constatées sur ses jambes, ses bras et son cou. De plus, il semblerait que la dose de Propofol donné à Michael Jackson était équivalente à celle administré normalement à un patient avant une lourde intervention chirurgicale.
Au final, onze flacons de propofol ont été retrouvés chez le chanteur, et aucun d’eux n’avait été administré via une ordonnance, ni n’était doté du nom du docteur, voir même du patient. Tout comme le clonazepam administré pour les crises de panique, les relaxants, les anti-dépresseurs, les quatorze capsules d’éphédrine, ainsi que le prednisone pour les problèmes de peau, qui ont aussi été retrouvés au domicile de Michael Jackson.
En plus du propofol, le sang du défunt chanteur contenait de nombreux sédatifs contre l’anxiété utilisée normalement pour les problèmes de dépression et de narcolepsie.
Le rapport atteste que les soins procurés envers Michael Jackson ont violé toutes les règles déontologique médicales, et cela risque fort d’être un élèment de poid lors du procès du Dr Conrad Murray.
Le rapport d’autopsie a également tenu à décrire la chambre de Jackson, qui ressemblait apparement à un véritable hôpital improvisé. Le médecin légiste a par ailleurs précisé qu’il y avait un réservoir d’oxygène vide, des réserves de médicaments, de l’alcool, des ordonnances, des seringues jetables, une boîte de cathéters, et une bouteille fermée contenant de l’urine, dans la chambre de Bambi, mais aussi, que l’équipement médical était déconnecté.