pop-rock
Léopold Skin & The blue house dandelions
Léopold Skin & The blue house dandelions
Après un an passé au Canada, le jeune artisite rentre en France pour nous livrer « Leopold Skin & the Blue House Dandelions », premier recueil de ballades folk intimiste et mélancolique.
Originaire de Clermont Ferrand (oui, …comme Cocoon), Léopold Skin est allé chercher son inspiration musicale dans les grands espaces canadiens… Sa page myspace dévoile ses souvenirs entre photos des grands lacs et ballades folk. Avec sa guitare acoustique en bandoulière, son chapeau, son harmonica en collier, ce jeune artiste de 21 ans veut s’inscrire dans la lignée de Neil Young et de Bob Dylan dont il revendique l’inspiration. C’est vrai qu’on l’imagine aisément dans un chapitre de « I’m not there ». Ses mélodies intimistes sont légères comme le vent et fragile comme le roseau… Soutenu par quatre musiciens (guitares, contrebasse, clavier et batterie), Léopold Skin joue une folk bourrée d’émotions, touchante à souhait, portée par une voix douce amère.
Même s’il n’atteint pas les sommets des montagnes du monde imaginaire qu’il décrit, ce premier album est honnête, touchant et bien fait. Après avoir partagé la scène avec ses pairs (Rufus Wainwright, Herman Düne, Devendra Banhart, Julie Doiron, Jack Lewis, Arab strap…), Léopold Skin sera en tournée en France pour défendre ce premier album.